Faux semblant
Une femme tombe éperdument amoureuse d’un homme qui se révèle être différent au fil du temps.
Le sujet est délicat et l’affiche suffisamment explicite pour que je me permette de le spoiler dans les lignes qui suivent.
Son mari se dévoile petit à petit en pervers narcissique et manipulateur. Très compliqué dans un film de faire comprendre la progression insidieuse du contrôle de l’homme sur sa femme. Les ellipses de temps nécessaires à la construction du scénario peuvent empêcher de comprendre le processus d’emprisonnement psychique et peuvent donc se révéler contre productives. La première partie du film nous entraine dans un début de liaison idyllique, jusqu’à ressembler dans sa forme à une comédie musicale. Virginie Efira, on n’en doutait pas, est magnifique de justesse (elle joue aussi le rôle de sa sœur jumelle, autre facette de sa personnalité) et le film est parsemé d’idées de mise en scène. A voir si le sujet ne vous rebute pas.
Le sujet est délicat et l’affiche suffisamment explicite pour que je me permette de le spoiler dans les lignes qui suivent.
Son mari se dévoile petit à petit en pervers narcissique et manipulateur. Très compliqué dans un film de faire comprendre la progression insidieuse du contrôle de l’homme sur sa femme. Les ellipses de temps nécessaires à la construction du scénario peuvent empêcher de comprendre le processus d’emprisonnement psychique et peuvent donc se révéler contre productives. La première partie du film nous entraine dans un début de liaison idyllique, jusqu’à ressembler dans sa forme à une comédie musicale. Virginie Efira, on n’en doutait pas, est magnifique de justesse (elle joue aussi le rôle de sa sœur jumelle, autre facette de sa personnalité) et le film est parsemé d’idées de mise en scène. A voir si le sujet ne vous rebute pas.
Réalisation : Valérie Donzelli
Scénario : Valérie Donzelli, Audrey Diwan
Avec : Virginie Efira, Melvil Poupaud, Dominique Reymond, Romane Borhinger, Virginie Ledoyen…
Musique : Gabriel Yared
Photographie : Laurent Tangy
Montage : Pauline Gaillard
Produit par : Edouard Weil, Alice Girard
Scénario
0%
Casting
0%
Mise en scène
0%
Photographie
0%
Bande son
0%
Montage
0%
Faux semblant
Une femme tombe éperdument amoureuse d’un homme qui se révèle être différent au fil du temps.
Le sujet est délicat et l’affiche suffisamment explicite pour que je me permette de le spoiler dans les lignes qui suivent.
Son mari se dévoile petit à petit en pervers narcissique et manipulateur. Très compliqué dans un film de faire comprendre la progression insidieuse du contrôle de l’homme sur sa femme. Les ellipses de temps nécessaires à la construction du scénario peuvent empêcher de comprendre le processus d’emprisonnement psychique et peuvent donc se révéler contre productives. La première partie du film nous entraine dans un début de liaison idyllique, jusqu’à ressembler dans sa forme à une comédie musicale. Virginie Efira, on n’en doutait pas, est magnifique de justesse (elle joue aussi le rôle de sa sœur jumelle, autre facette de sa personnalité) et le film est parsemé d’idées de mise en scène. A voir si le sujet ne vous rebute pas.
Le sujet est délicat et l’affiche suffisamment explicite pour que je me permette de le spoiler dans les lignes qui suivent.
Son mari se dévoile petit à petit en pervers narcissique et manipulateur. Très compliqué dans un film de faire comprendre la progression insidieuse du contrôle de l’homme sur sa femme. Les ellipses de temps nécessaires à la construction du scénario peuvent empêcher de comprendre le processus d’emprisonnement psychique et peuvent donc se révéler contre productives. La première partie du film nous entraine dans un début de liaison idyllique, jusqu’à ressembler dans sa forme à une comédie musicale. Virginie Efira, on n’en doutait pas, est magnifique de justesse (elle joue aussi le rôle de sa sœur jumelle, autre facette de sa personnalité) et le film est parsemé d’idées de mise en scène. A voir si le sujet ne vous rebute pas.
Scénario
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Casting
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Mise en scène
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Photographie
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Bande son
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Montage
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