2h49 !!! Le 7 était déjà trop long, le 8 continue sur sa lancée. On a l'impression de passer notre temps à voir Tom Cruise courir, sauter, parler (et parler, et parler...). Et contre qui ? pas grand monde, ou en tout cas pas grand chose de tangible si on excepte le personnage de Esai Morales à la limite du ridicule. L'ennemi c'est une IA peu présente à l'image qui peine à être inquiétante du coup.
Et le scénario s'étire, accumule les clichés du film d'action, avec son lot de partenaires que le héros sauve, ceux qu'il ne sauve pas, les rebondissements auxquels le spectateur doit faire semblant d'accrocher, etc.
Les multiples clins d'oeil aux épisodes précédents sont un peu fatigants, et à part quelques bonnes idées, un peu vains.
On a tenté de nous faire croire que c'était le dernier de la saga, je n'en suis pas si sûr...