Date de sortie : 17/12/2025
Durée : 1h49
Le temps qu'il reste
J'avais vu Godland dans une précédente édition de Cannes, et on retrouve ici ce qui faisait la force et la faiblesse de Hlynur Pálmason.
En premier lieu ce qui s'impose immédiatement, c'est la grande maîtrise technique au niveau de l'image notamment. Les cadrages notamment sont vraiment très travaillés et chaque plan raconte autant sur le fond que sur la forme.
Le casting est très bon aussi et porte ces personnages qui tentent de s'en sortir dans une vie de famille et des vies personnelles pas toujours aisées.
Mais comme Godland, les séquences sont très, très étirées en longueur et des dialogues paraissant pourtant secondaires durent beaucoup trop longtemps selon moi... C'est toujours délicat d'avancer un tel argument quand on enchaîne les séances dans un festival... mais si à ces séquences trop longues on ajoute aussi 2-3 personnages secondaires sous-écrits, on peut quand même légitimement se dire que la durée du film n'est pas optimum.
Réalisation : Hlynur Pálmason
Scénario : Hlynur Pálmason
Avec : Saga Garðarsdóttir, Sverrir Gudnason, Ída Mekkín Hlynsdóttir, Þorgils Hlynsson…
Photographie : Hlynur Pálmason
Montage : Julius Krebs Damsbo
Produit par : Anton Máni Svansson, Katrin Pors
Le temps qu'il reste
J'avais vu Godland dans une précédente édition de Cannes, et on retrouve ici ce qui faisait la force et la faiblesse de Hlynur Pálmason.
En premier lieu ce qui s'impose immédiatement, c'est la grande maîtrise technique au niveau de l'image notamment. Les cadrages notamment sont vraiment très travaillés et chaque plan raconte autant sur le fond que sur la forme.
Le casting est très bon aussi et porte ces personnages qui tentent de s'en sortir dans une vie de famille et des vies personnelles pas toujours aisées.
Mais comme Godland, les séquences sont très, très étirées en longueur et des dialogues paraissant pourtant secondaires durent beaucoup trop longtemps selon moi... C'est toujours délicat d'avancer un tel argument quand on enchaîne les séances dans un festival... mais si à ces séquences trop longues on ajoute aussi 2-3 personnages secondaires sous-écrits, on peut quand même légitimement se dire que la durée du film n'est pas optimum.
